Pour commencer, je souhaite remercier les Éditions du Riez ainsi que le Forum Clubdelecture pour m'avoir offert ce livre.
Ce livre m'a d'abord attiré par la couverture qui comme vous pouvez le constater est bizarre au premier regard, mais on comprend son sens en lisant le livre.
A la fin de ma lecture mon avis est encore un peu mitigé, je commencerais d'abord par évoquer les points positifs puis je parlerais des petits points qui m'ont dérangé dans ce livre.
J'ai beaucoup aimé l'histoire en elle-même, je me demande de quelle part de l'imagination de l'auteur elle est sortie, mais il fallait quand même le faire pour inventer une histoire aussi...bizarre.
Les personnages d'Ana et de Sam sont très attachant, l'écriture de Christophe Nicolas nous permets de très bien discerner les émotions des personnages, comme-ci nous étions à leur place.
On est pris dans l'histoire dès le début avec l'enlèvement de Sam, puis elle continue doucement révélant des détails au fur et à mesure ce qui marque bien sur le suspens et donne encore plus envie de continuer la lecture.
Le style d'écriture de l'auteur est agréable, il n'y a aucune difficulté, sauf pour moi le fait qu'il superpose les points de vus des différents personnages.
C'est un des points qui m'a dérangé, au début avec la multiplicité des personnages j'avais tendance à me perdre dans les différents points de vus.
Puis un point qui m'a aussi un peu dérangé c'est le langage cru dans les scènes assez dures à lire...( scène de violence, de viol, etc. ), je pense qu'il y avait parfois beaucoup trop de détails dans ses scènes.
Pour conclure, je peux dire que j'ai apprécié ce livre. Je pense aussi qu'en plus de le classer dans la catégorie policier on pourrait le classer dans la catégorie fantastique car c'est vraiment une histoire farfelue !
Même si je ne le classe pas dans mes lectures coup de coeur je le conseille car c'est une histoire qui en vaut la peine, ce n'est pas une histoire policière banale, elle est plus que çà et Christophe Nicolas a du talent alors n'hésitez pas !
Tags : du Riez
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